Quand Paul McCartney a envoyé ... du caca à un des journalistes !

Quand Paul McCartney a envoyé ... du caca à un des journalistes !

Le guitariste avait mal pris les critiques sur un concert !

Plus besoin de le présenter : Paul McCartney, guitariste légendaire et leader incontournable des Beatles puis des Wings, reste une figure historique du rock du XXe siècle. Celui qui est apparu dans Les Simpsons pour veiller à ce que Lisa reste végétarienne a beau afficher une image paisible et bienveillante, il n’est pas toujours du genre à laisser passer une critique sans broncher. Et une anecdote, racontée dans un livre consacré aux Wings, prouve qu’il peut aussi se montrer… particulièrement taquin.

Tout se déroule dans les années 70, alors que McCartney poursuit sa carrière après l’aventure Beatles. Un journaliste britannique avait rejoint le groupe, prétendant vouloir écrire un article sur la façon dont les musiciens voyageaient avec leurs familles, et non sur leur musique. Le batteur du groupe, Denny Seiwell, témoin direct de la scène, raconte :

“Nous l’emmenions à la balance. Nous le laissions dans les coulisses. Nous le laissions monter dans le bus.”

Mais le journaliste repart avant même le concert… Une semaine plus tard, surprise : un article incendiaire paraît dans la presse. “Il a tout démoli ! Notre façon de vivre, notre façon de voyager, notre son”, se souvient Seiwell. De quoi provoquer la colère de Paul et Linda McCartney, furieux de cette trahison.

Le couple décide alors d’un plan machiavélique :

“Paul et Linda ont pris un petit porte-savon en plastique de l’hôtel et y ont mis l’un des excréments de Stella, leur fille”, révèle le batteur.

Le “colis” ainsi préparé fut soigneusement emballé et expédié au journaliste fautif. Une vengeance à la fois absurde et délicieusement punk, digne de l’esprit rebelle du rock britannique.

Des décennies plus tard, Denny Seiwell ne regrette rien :

“Vous l’avez entendu de moi. Je me fiche qu’ils veuillent que ce soit connu ou non.”

Pour lui, la réaction du couple McCartney était parfaitement justifiée face à ce qu’il qualifie de “journaliste britannique grossier”. Une histoire folle qui rappelle que même les légendes du rock ont parfois besoin de... vider leur sac.