Green Day viennent de lever le voile sur la toute première bande-annonce officielle de New Year’s Rev, une comédie itinérante aussi déjantée qu’inattendue, inspirée de leurs premières années sur la route. Annoncé en février dernier et mis en scène par le réalisateur Lee Kirk, le projet a été produit main dans la main avec les trois membres du groupe.
Une histoire road-trip complètement rock’n’roll
Le film suit les mésaventures du groupe fictif Analog Dogs, incarnés à l’écran par Mason Thames, Kylr Coffman et Ryan Foust. Ces trois amis originaires du Kansas quittent leur quotidien pour rallier la Californie, persuadés qu’ils ont décroché une opportunité en or : jouer en première partie de Green Day le soir du Nouvel An.
Ce qui devait être le concert de leur vie se transforme rapidement en un road-trip ponctué de situations tragicomiques, entre galères, rencontres improbables et illusions brisées. La bande originale du film viendra accentuer l’énergie de ce voyage déchaîné, avec au programme certaines des chansons les plus cultes du groupe, dont l’incontournable « Holiday » issu de l’album American Idiot.
Un clin d’œil aux débuts de Green Day
Produit par Live Nation Productions et directement impliqués à la production, Billie Joe Armstrong, Mike Dirnt et Tré Cool revisitent à travers ce projet leurs propres jeunes années. Avant de remplir des stades, le trio californien sillonnait lui aussi les routes dans un van, entre espoir et chaos.
New Year’s Rev se nourrit de cette réalité brute et met en scène, aux côtés des jeunes acteurs, un casting haut en couleurs : Jenna Fischer, Angela Kinsey, Ignacio Diaz-Silverio, Fred Armisen, Bobby Lee, McKenna Grace, Sean Gunn ainsi que Keen Ruffalo, le fils de Mark Ruffalo.
Rendez-vous à Toronto
Rock’n’roll jusque dans son lancement, New Year’s Rev sera présenté en première mondiale le 12 septembre prochain au Festival international du film de Toronto. Une occasion en or pour les fans de découvrir un projet hybride, à mi-chemin entre l’hommage et la farce, qui promet de repousser encore une fois les limites de l’univers Green Day.